Il y a des douleurs qu’on ne sait pas nommer. Et pourtant, elles sont là dans notre corps. Elles s’expriment par des manifestations physiques : un corps tendu, un souffle court, une fatigue chronique, une boule dans le ventre…Elles peuvent avoir un impact sur notre équilibre mental, émotionnel et physique.
Pendant longtemps, j’ai moi aussi cherché à “comprendre” mes blocages. Mais ce n’est qu’en passant par le corps, et l’énergie, que les choses ont vraiment commencé à bouger. Ce que j’observe dans mes accompagnements, et de ce que j’ai intégré avec mon corps : la thérapie psychocorporelle, la sophrologie et les soins énergétiques sont de puissantes clés pour libérer les empreintes de nos traumatismes.
La libération des traumatismes passe souvent par un retour à soi, c’est à dire :
- à son corps, grâce aux pratiques psychocorporelles
- à son énergie, grâce aux soins vibratoires et aux nettoyages subtils.
- à son âme, qui n’attend que de pouvoir s’exprimer pleinement.
Chaque femme et homme que j’accompagne retrouve un peu plus de sa puissance en réintégrant son histoire et en libérant son corps et son cœur.
Le corps ou la mémoire de nos traumatismes
Un traumatisme, ce n’est pas seulement un souvenir difficile. C’est un événement – parfois anodin en apparence – qui, à un moment donné, a été trop, trop vite, trop tôt ou trop fort pour le système nerveux. Et quand ça déborde, ça ne s’évacue pas forcément par les larmes ou les mots. Ça se fige et cela peut se loger dans le corps en une seule fois ou par répétition en fonction de l’intensité ressentie. C’est là que l’approche psychocorporelle devient essentielle. Au delà de la compréhension mentale sur les maux ; elle permet de reconnecter ce qui a été dissocié : le corps, le cœur, l’énergie, l’émotion.
La libération des traumatismes passe par un retour à soi, une reconnaissance de ce qui à été blessé pour enfin se libérer, se pardonner.
La sophrologie une porte d’entrée vers le corps
La sophrologie fait partie de ses approches psychocorporelles. C’est comme une porte d’entrée douce pour se réapproprier son corps. Respirer consciemment, relâcher les tensions, se remettre à l’écoute de ses sensations de façon très simple mais très puissante pour les hommes et les femmes qui vivent « dans leur tête », coupé.e.s de leurs ressentis au quotidien. Revenir dans son corps, c’est se créer un espace intérieur sécure qui devient un ancrage précieux dans les moments de vulnérabilité que nous propose d’expérimenter la vie.
En sophrologie, on utilise beaucoup la visualisation pour laisser cerveau agir pour libérer les émotions bloquées et créer un espace disponible pour imaginer des scénarios plus bénéfiques pour nous-même. Dans ce temps de visualisation les mots ont leur importance. J’ai toujours eu conscience de l’impact des mots sur moi-même et sur les autres. Les mots sont de l’énergie que l’on envoi ou que l’on reçoit. Les mots sont guérisseurs. Le son est guérisseur.
Les soins énergétiques ou les sons énergétiques
En soins énergétiques, je dis souvent que le son vient “nettoyer ou libérer”: les mémoires, les charges émotionnelles cristallisées, les blocages invisibles mais bien réels. Les mots et les sons ont également toutes leurs places dans le soin. Il y a des mots que l’on a besoin d’exprimer pour se libérer et d’autres que l’on a besoin d’entendre pour se réparer. S’adresser et écouter la partie de nous qui à vécu ce traumatisme peut être très libérateur. Le principe est de toujours formuler les mots depuis le cœur. Le mental doit intervenir le moins possible.
Pendant une séance de libération émotionnelle, je vous guide pour rester le plus attenti.f.(v).e possible à vos ressentis pour une libération en profondeur. Ce que j’aime, c’est cette complémentarité entre le travail corporel et énergétique. Ce qu’il faut retenir c’est que même quand on ne comprend pas tout ce qui se passe… le corps, lui, il sait. Alors faites confiance à votre corps, votre boussole.