1. 95 % des acouphènes sont audibles que par la personne. C’est-à-dire, qu’ils ne sont pas “mesurables” par des appareils électroniques. Conséquence, les personnes acouphéniques peuvent souffrir, en plus de la gène occasionnée, de manque de reconnaissance de leurs troubles, entraînant parfois l’isolement.
2. 20 % des personnes déclarent vivre leur acouphène comme une souffrance au quotidien.
3. L’acouphène est un vécu unique, propre à chaque personne souffrante. Deux personnes ayant un acouphène de même intensité percevront de manière différente leur acouphène.
4. Le stress amplifie les effets de l’acouphène amenant la personne dans une boucle négative et entraînant une détérioration du quotidien : des troubles du sommeil, de l’attention, de l’humeur…
5. L’acouphène est très souvent lié à une charge émotionnelle. A l’aide de la sophrologie, cette charge peut être réduite à l’aide d’exercices de relaxation basés sur la respiration, le relâchement musculaire et la visualisation. Ainsi, la tolérance à l’acouphène est améliorée.
6. La sophrologie fait partie des solutions recommandées par les médecins, les ORL pour améliorer la qualité de vie des personnes acouphéniques.
7. La sophrologie aide à, mieux vivre son acouphène, favoriser la concentration, renforcer l’estime de soi, améliorer ses capacités de récupération physique et émotionnelle…